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Audiovisuel
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L’afro-cinéma : le cinema Queer Noir
Briser les silences : le cinéma noir contemporain devient-il queer?
Loin du périph : Tu représenteras négativement les dominants
En 2020, la rédaction du New York Times a annoncé qu’elle utiliserait un B majuscule pour écrire le mot Black (noir) mais un w minuscule pour white (blanc). Symptomatique du nouveau double standard, dans lequel on lutte sans relâche contre tout ce qui pourrait de près ou de loin véhiculer des stéréotypes néfastes sur les minorités ethniques tout en encourageant les généralisations négatives sur les Blancs. Dans le monde de la culture, le terme « blanc » est de plus en plus souvent employé de façon péjorative.
Axe Lourd : un regard brutaliste sur le cinéma camerounais
Le dernier long métrage du réalisateur Dr Nkeng Stephens, “Axe Lourd”, ne marque pas certes une nouvelle étape dans le cinéma camerounais. Mais un nouvel ancrage dans le cinéma d’action,…
Nina Torres : la science de l’Homo numericus (Première partie)
De Koulibaly Marguerite à Nina Torres (Anna Jamila), on observe l’influence grandissante de la culture pop occidentale. Celle-ci, initiée dès le siècle des Lumières ( XX siècle) et popularisée au…
L’Esthétique du Désastre dans le film Agents un peu Trop Secrets (Deuxième partie)
Nous entamons la deuxième partie de l’article avec le terme “mauvaise étoile” de J. Essola. Cette mauvaise étoile conduira à une esthétique du désastre. l’esthétique du désastre en création cinématographique…
Fanon, ou la mangrove de l’âme : culture, résistance et psychiatrie
Découvrir sa mission, la remplir ou la trahir, telle est la jeunesse de chaque génération. Cette déclaration de Frantz Fanon, résonne avec force dans le récent Biopic de Fanon de…
Agents un Peu Trop Secrets ou l’esthétique de la blessure. (première partie)
Le dernier long métrage de F. Thierry Léa Malle explore un concept esthétique ( esthétique de la blessure) qui prend tout son sens à l’ère du numérique. Une philosophie de…
ELLE : ceci n’est pas un film
le récit retranscrit cordialement le réel de la richesse d’une certaine partie de la jeunesse au Cameroun ( présence d’une photo du nom président de la République dans le déroulé). Vu que le cinéma non seulement est perçu comme un art narratif, mais également comme une construction qui peut manipuler la perception de la réalité.
Qu’est-ce qu’un film qui a du sens ?
Un divertissement médiatique rempli de sens questionne souvent les croyances des individus et leur propose une autre vision du monde.
Le doppelgänger cinématographique : cas des films John Wick et Nobody
C’est un terme qui désigne des films qui se ressemblent fortement en apparence (esthétique, la narration, l’ambiance, mise en scène ) mais qui pourrait diverger dans l’intention. C’est-à-dire deux films peuvent être similaires dans l’aspect visuel mais en racontant des histoires différentes. C’est la situation des films John Wick et Nobody.